L'homme et le serpent de homine et serpente

Une alliance a été conclue entre l'Homme et le Serpent, et ils étaient d'accord sur une telle condition que chaque jour, l'Homme devait donner du lait dans un petit vase au Serpent, et le Serpent enrichissait l'Homme. Ainsi, l'Homme est devenu riche et puissant, et, à un moment donné, comme il le fallait, il a remercié le Serpent, qui grâce à lui abondait en richesses et en honneurs. Le Serpent lui a répondu : Je peux faire soit le bien soit le mal, comme je le souhaite, et je donne des richesses quand cela me plaît; si cela ne me plaît pas, j'enlève ce qui a été donné. Lorsque l'Homme a raconté cela à la Femme, elle a dit : Si c'est comme tu le dis, il me paraît préférable que tu le tués maintenant alors qu'il est riche, plutôt que tu le ressentes un jour en colère et que ces richesses enlevées, tu redeviennes pauvre. Le conseil de la Femme a séduit l'Homme, et un jour, alors qu'il offrait comme d'habitude du lait au Serpent, il a tenté de frapper la tête de son compagnon avec une hache. Mais le Serpent rusé s'est réfugié dans une caverne, et une pierre a reçu le coup et la blessure. Le Serpent donc, en colère et sorti immédiatement pour se venger, a envahi les moutons du Paysan, et a rendu la plupart d'entre eux inutiles. Le lendemain, il a aussi tué son fils dans son berceau. Alors, l'Homme a dit à la Femme : Ton conseil a été inutile ; d'où il est nécessaire que tu me conseilles mieux. Et elle a dit : Je ne sais pas ce que tu ferais de mieux, que de renouer avec lui l'alliance de départ, si c'est possible. Alors, l'Homme avec son lait est allé à la grotte de son partenaire offensé, essayant de le calmer avec le cadeau de lait. Donc appelé à dîner, le Serpent a répondu depuis la grotte et a demandé ce que le Paysan voulait. Et il a dit : Je porte comme d'habitude le lait, et je supplie humblement pour la grâce perdue. Alors, le Serpent lui a dit : Il est à peine possible que nous puissions redevenir amis comme nous l'étions auparavant, mais nous pouvons avoir certaines choses en commun. Apportez donc le lait comme vous le faites d'habitude, et, une fois qu'il sera devant la grotte, vous devrez partir, et votre salaire sera bon, et ainsi nous pourrons encore être amis si vous le souhaitez ; mais, à moins que je ne me trompe, aucun de nous n'aura confiance en l'autre à partir de maintenant. Car, lorsque je verrai la blessure causée par la pierre, je me souviendrai toujours de la hache, et toi, quand tu verras le berceau, le souvenir du Serpent sera présent.

Moralité. Une amitié une fois gravement blessée, il est peu probable qu'elle puisse être complètement restaure à l'avenir.